Il m’a dit :
“Ça fait trois ans qu’on est élus. Trois ans qu’on veut avancer, qu’on parle de formation, d’assistance juridique, d’activités sociales… et à chaque fois, on n’arrive pas à trancher. Les projets se montent, les devis s’accumulent, et au final : rien. On finit par abandonner, épuisés de comparer, de douter, de faire machine arrière. Et là franchement, je me dis : peut-être que se syndiquer, ce serait plus simple.”
Ce témoignage, c’est celui d’un élu CSE en place depuis plusieurs mandats. Un élu motivé, investi, qui veut bien faire. Mais qui doute. Parce qu’il se retrouve, comme beaucoup, dans une impasse. Pas assez soutenu, trop seul face aux décisions importantes. Et pourtant, il n’a pas envie de céder à une solution par défaut.
Alors il a formulé La question que beaucoup d’élu se posent :
“Est-ce que je dois forcément me syndiquer pour que les choses avancent enfin ?”
Le syndicat : une réponse… à condition d’en partager la ligne
Quand un élu rejoint un syndicat, il accède à une structure organisée. Les prestataires sont sélectionnés, les argumentaires sont déjà construits, les outils sont là. C’est fluide, rassurant, surtout pour ceux qui ont une vraie conviction militante.
> Si vous êtes aligné idéologiquement avec un syndicat, alors cette voie a du sens.
Mais attention : adhérer à un syndicat, c’est aussi se fondre dans une ligne collective. Vous ne choisirez plus chaque combat. Vous vous engagerez sous une bannière, avec ses combats, ses priorités, ses discours. Et ce n’est pas toujours facile quand on veut rester libre de ses opinions.
> Et si vous ne savez pas encore quel syndicat vous correspond, nous pouvons vous aider à y voir clair. Il suffit de nous contacter : nous vous guiderons sans parti pris.
> Par contre, si vous envisagez de rejoindre un syndicat uniquement parce que vous vous sentez perdu ou que vous cherchez un cadre structuré, ce n’est peut-être pas la meilleure raison. Dans ce cas, il existe d’autres solutions.
Ne pas être syndiqué : entre autonomie et surcharge mentale
À l’inverse, beaucoup d’élus choisissent de ne pas être syndiqués, pour rester indépendants.
Cela permet de :
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sélectionner ses propres prestataires
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défendre exactement ce qu’on souhaite
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prendre les décisions en toute liberté
Mais cela implique aussi de tout faire soi-même : lire des dizaines d’articles juridiques, comparer des devis, négocier des contrats, organiser ses formations seul·e, et souvent… abandonner en route.
C’est précisément ce que vivait mon client : trop de choix, trop de doutes, pas assez de continuité. Résultat : les projets tombaient à l’eau. Non pas par manque de motivation, mais faute d’un appui global et durable.
La 3e voie : rester non syndiqué tout en étant solidement accompagné
Et s’il existait un entre-deux ? Une voie où vous resteriez pleinement indépendant, mais jamais seul·e.
C’est ce que de plus en plus d’élus choisissent aujourd’hui. Ils ne se syndiquent pas, mais ils décident de travailler avec une seule entreprise de confiance pour les accompagner :
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sur leur formation CSE
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sur l’assistance juridique quotidienne
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sur la préparation des réunions, des PV, des ordres du jour
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sur les choix de prestataires pour les ASC
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sur la lecture du code du travail, des conventions collectives, etc.
Cette solution leur permet de garder la main sur tout, tout en s’évitant la charge mentale et les erreurs coûteuses.
C’est un choix de responsabilité. Pas besoin de tout savoir : il suffit d’être bien conseillé sur les formations à suivre, dans quel ordre par rapport à votre objectif.
• Formation SSCT
• Formation économique du CSE
• Accompagnement à la rédaction des PV de réunion
• Formation des référents harcèlement
• Aide à la gestion des activités sociales
• Mise en place d’un calendrier de réunions avec suivi
• Lecture commentée de vos textes juridiques
• Analyse et aide à la négociation collective
Et si vous testiez sans vous engager ?
> Pour tous les élus syndiqué ou non qui cherchent un cadre clair / renforcer leur cadre, mais qui souhaitent découvrir une avant première avant de s’engager chez Joriana, nous offrons un premier accompagnement d’un mois à nos services.
Vous testez, vous voyez si cela vous aide vraiment. Pendant ce mois :
-
on vous aide à rédiger vos PV
-
on vous assiste juridiquement au quotidien
-
on vous prépare vos ordres du jour
- on trace votre parcours formation
> Il suffit de cliquer ici pour prendre rdv avec nous 15 min et activer cette période d’essai.
Ce que cette histoire nous apprend
L’important, ce n’est pas de choisir entre “syndiqué” ou “non syndiqué”. C’est de savoir pourquoi vous faites ce choix.
➡️ Si vous avez une conviction forte, que vous vous sentez aligné avec un syndicat : foncez.
➡️ Si vous voulez garder votre liberté, mais vous appuyer sur une équipe fiable : c’est aussi une voie solide.
➡️ Et si vous hésitez encore : parlez-nous-en, on vous aidera à trier, sans parti pris.
L’essentiel, c’est que vous ne restiez pas seul face aux responsabilités de votre mandat. Parce que vous avez mieux à faire que de tout porter sans filet.
Pour ce qui est de mon client, il n’a pas (encore) rejoint de syndicat. Mais il a maintenant la possibilité de ne plus rester non plus.
Et vous ?
Dans quelle voie vous sentez-vous le plus à votre place ?